The Body remained. The face was taken (2025) Peinture par Gela Mikava
Vendeur Gela Mikava
Impressions "Fine-art" sur papier
Il s'agit d'un processus d'impression sur papier d'art utilisant des encres pigmentaires de très haute qualité et imprimé en très haute définition. Son niveau de conservation est exceptionnel (plus de 100 ans), sa qualité, sa profondeur et sa richesse de nuances déent celles de l'impression photo classique sur papier argentique.

Finition brilliante
Outre son épaisseur exceptionnelle, le papier fibre est composé d'une base d'alpha-cellulose sans acide et il est recouvert de sulfate de baryum, et d'une couche microporeuse améliorant l'absorption des pigments lors de l'impression. Arborant une couleur blanc pur, ne jaunissant pas à la lumière, ce papier est spécialement conçu pour être durable dans le temps. Il est utilisé par les principaux musées du monde entier car il offre une excellente résolution et un rendu de couleurs profondes et denses.
Impression d'art "Fine Art" - Finition brillante sur papier à base de fibres 325 g.

Nos impressions et reproductions haut de gamme
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- Marqueur sur Toile
- Dimensions Hauteur 15,8in, Largeur 11,8in
- État de l'œuvre L'œuvre est en parfait état
- Encadrement Cette œuvre n'est pas encadrée
- Catégories Peintures à moins de 5 000 $US
Words are repeated like a lament or incantation:
“The body remained. The face was taken.”
“Not knowing her face doesn't mean she wasn’t there.”
“Silence didn’t erase me.”
“The Face Was Taken”
Acrylic, ink, and text on paper
2025
“The body remained. The face was taken.”
This portrait holds a presence that resists definition. A woman’s image—blurred, anonymous—emerges from shadow. Her face has been erased, but her absence speaks.
Through repetitive handwritten text layered over the paint, the work mourns the erasure of identity, memory, and voice. It confronts the quiet violence of being silenced, of being made invisible.
She was here. She still is.
By integrating these texts directly into the pictorial surface, the artist invites us to read the image as both document and wound. The layering of paint and script becomes a gesture of resistance against forgetting—reminding us that even when a face is stolen, the subject’s existence endures.
In the context of post-Soviet trauma, gendered violence, and contested memory, this piece becomes more than portraiture: it is an act of reclamation.
Thèmes connexes
Gela Mikava est un artiste visuel géorgien dont l'approche artistique unique est centrée sur la réutilisation de plafonds tendus en tissu de coton de l'ère soviétique comme toile de prédilection. Dans un monde où les matériaux sont souvent jetés sans réfléchir, Mikava considère ces plafonds comme des vaisseaux d'histoire, portant le poids des histoires, des émotions et des souvenirs de générations.
Ce qui distingue le travail de Mikava, c'est le lien profond qu'il tisse entre sa toile et son é. Ces plafonds tendus, témoins d'innombrables instants, conservent les empreintes de leurs précédents habitants, chaque empreinte et chaque murmure gravés dans le tissu. Lorsque Mikava peint sur ces toiles, il ressent un profond sentiment de responsabilité d'honorer leur héritage, permettant à la toile elle-même de guider sa main et de transmettre son propre récit à travers son art.
Au cœur de la philosophie artistique de Mikava se trouve la conviction que les expressions les plus puissantes émergent de la fusion de différents matériaux et médiums. Il s'efforce de créer un art qui non seulement enflamme l'imagination mais transcende également le temps, évoquant de profondes émotions chez les spectateurs. Chaque pièce créée par Mikava raconte une histoire, non seulement de sa vision, mais aussi des riches histoires ancrées dans les matériaux qu'il utilise.
- Nationalité: GÉORGIE
- Date de naissance : 1995
- Domaines artistiques: Œuvres d’artistes professionnels,
- Groupes: Artistes Contemporains Géorgiens
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